07 Fév Symposium du 28 nov 2018 – Synthèse

FIN DE VIE ET LE MOURIR
DANS UN MONTRÉAL PLURIEL
Nouvellement diplômée en anthropologie à l’Université de Montréal, je réalise actuellement un post-doctorat à l’école de travail social de l’Université McGill. Je m’intéresse à la valeur de la vie des personnes âgées vivant en CHSLD pendant la pandémie. Mon projet porte à la fois sur la façon dont les discours publics traitent de la vie et de la mort de ces personnes mais aussi aux histoires que ces dernières font de la pandémie de la COVID-19. Ce projet s’inscrit en continuité au sujet de ma thèse qui portait sur les pratiques de soins de fin de vie auprès des personnes âgées institutionnalisées. Je suis également chercheuse en émergence au centre de recherche et de partage des savoirs Interactions au CIUSSS NIM. L’intérêt que je voue au mourir et à la mort s’inscrit dans la continuité des travaux de recherche que j’aie coordonnés depuis 2012 et qui se sont intéressés à la représentation de la mort en contexte de soins palliatifs, aux attitudes et croyances entourant la mort en CHSLD et aux besoins en recherche sur les soins de fin de vie notamment. Ces réalisations confirment ma passion pour la recherche sur le mourir et la mort et motivent mon ambition de participer au développement des connaissances dans ce domaine.
Je suis étudiant à la maîtrise en anthropologie à l’Université de Montréal. Présentement, sous la direction de Deirdre Meintel, je travaille le sujet de l’immigration moyenne-orientale en Amérique latine.
D’autre part, je suis assistant de recherche dans les projets « Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel » et « Parcours migratoires et repères identitaires de personnes réfugiées syriennes : perspective transnationale du Liban au Québec » (CRSH 2017-2019, dir. R. Caron).
Mes intérêts de recherche portent sur la mobilité humaine et la diversité ethnique. Spatialement, je me focalise sur les contextes moyen-orientaux et latinoaméricains.
Sociologue de formation, je me suis spécialisée dans le domaine de la santé des populations. Je travaille actuellement au CR-CHUM sur des projets de recherche qui portent tous sur la douleur chronique.
J’ai rejoint le projet de recherche Expérience de fin de vie dans un Montréal pluriel comme assistante de recherche, pour répondre à mes intérêts portants sur le vécu des proches aidant.e.s, et la mort.
Diplômée d’un baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal, Je suis actuellement au certificat en immigration et relation interethnique et commence prochainement un bac en travail social à l’UQÀM. Je participe à ce projet en tant qu’assistante de recherche. La diversité culturelle de Montréal m’intéresse grandement. Ce projet est donc l’occasion, pour moi, de rentrer en contact avec cette diversité ethnoculturelle et de comprendre les rapports que la population immigrante entretient avec le système de santé québécois.
Je suis anthropologue de formation et je participe au sein du projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel en tant qu’assistant de recherche. Je m’intéresse aux problématiques d’accès aux soins de santé par la population migrante au Québec et à l’impact des politiques publiques sur l’intervention auprès de cette population.
Doctorant en anthropologie à l’Université de Montréal, sous la direction de Sylvie Fortin, je suis assistant de recherche pour le projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel.
Je suis également assistant de recherche auprès de Janice Graham sur le projet Global Vaccine Logics, qui s’intéresse aux trajectoires de vie de participants aux essais cliniques sur le vaccin contre Ebola à Montréal, Dakar et Bobo-Dioulasso.
J’ai travaillé pour le Centre d’Excellence pour le partenariat avec les patients et le public, période qui a vu mûrir mon sujet de doctorat.
Par le biais de ce dernier, j’étudie la gestion des dilemmes moraux au sein de l’espace clinique entre les équipes de soins et les patients et leurs proches en contexte d’hyperdiversité culturelle. C’est suite à cette démarche que s’est révélé mon intérêt pour les trajectoires de fin de vie et le projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel.
J’exerce le rôle de travailleuse sociale depuis 10 ans, au CLSC Métro, qui fait partie du CIUSSS Centre-Ouest de l’Île de Montréal. J’interviens auprès des personnes âgées en perte d’autonomie qui demeurent à domicile. Il s’agit pour moi d’une deuxième carrière car, à la suite d’une formation en anthropologie (BAC et Maîtrise en anthropologie à l’Université de Montréal), j’ai été agente de recherche et chercheure communautaire pour l’Équipe de recherche et d’action en santé mentale et culture (ÉRASME). Cette équipe était formée de chercheurs universitaires et de regroupements d’organismes communautaires, dont le Regroupement des ressources alternatives en santé mentale du Québec (RRASMQ), auquel j’étais rattachée.
Les diverses connaissances et expériences acquises en recherche – d’abord dans le cadre de mon mémoire de maîtrise portant sur la conception culturelle de la vieillesse dans la société québécoise appréhendée à travers le récit de vie de personnes âgées, et ensuite dans le cadre des recherches d’ÉRASME qui s’intéressaient aux pratiques d’intervention en santé mentale dans divers milieux (communautaires et institutionnels) du point de vue des personnes usagères – me sont très utiles en tant qu’intervenante auprès des personnes âgées vulnérables.
Mon intérêt pour la conception de la bonne mort du point de vue des proches provient de mon expérience d’intervenante puisque, n’ayant pas toujours la possibilité de les transférer à l’équipe de soins palliatifs, il m’arrive d’accompagner des personnes et leurs proches en fin de vie. Je tiens aussi à ajouter que j’ai vécu cette expérience de l’intérieur, ayant moi-même accompagné ma mère dans cette ultime étape de vie, il y a trois ans.
Je participe à la présente recherche en tant que chercheuse-praticienne. Travailleuse sociale depuis 2010 au CSSS de la Montagne (fusionné aujourd’hui dans le CIUSSS du Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal), je me dédie aujourd’hui à l’accompagnement psychosocial au sein de l’équipe de soins palliatifs à domicile. Je suis détentrice d’une maîtrise en Psychiatrie Transculturelle de l’Université McGill ainsi que d’une maîtrise en Travail Social de l’UQAM, avec une concentration en gérontologie sociale.
J’ai participé au recueil « Quand la mort frappe l’immigrant : Défis et adaptations », sous la direction de Béatrice Halsouet et Lyliane Rachédi. De plus, je suis formatrice reconnue quant aux directives de la Loi sur les soins de fin de vie au sein des équipes professionnelles et des membres siégant au comité sur les soins palliatifs du CIUSSS du Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal.
Je suis une femme immigrante, mère de deux enfants et passionnée par la diversité et les enjeux qu’elle soulève. Je suis professeure chercheure à l’École de travail social UQAM, possédant un doctorat en sciences humaines appliquées et une maîtrise en travail social.
Co-chercheure dans le projet dirigé par Sylvie Fortin, mon intérêt porte sur le croisement entre diversité, mort et fin de vie. J’ai dirigé des projets de recherche portant essentiellement sur les expériences des personnes immigrantes endeuillées, le deuil à distance et la place des réseaux transnationaux dans le processus de deuil. Mon dernier projet porte sur la mort en contexte migratoire, les rituels funéraires et le travail d’accompagnement des professionnels auprès des endeuillés.
Je suis travailleuse sociale de formation et j’ai travaillé auprès des familles immigrantes et réfugiées.
travailsocial.uqam.ca/professeur?c=rachedi.lilyane
mortsenmigration.uqam.ca
Je suis travailleuse sociale de formation et Conseillère clinique cadre de par ma fonction au CIUSSS Centre-Ouest-de-l’île-de-Montréal.
J’ai été pendant plusieurs années chef d’administration de programme d’une équipe multidisciplinaire au soutien à domicile et j’ai mis sur pied l’équipe de soins palliatifs à domicile de l’ancien CSSS de la Montagne. Je suis actuellement impliquée dans différents comités de travail du CIUSSS sur les soins palliatifs et l’aide médicale à mourir, afin d’améliorer le continuum de soins, l’accès aux services et la formation des intervenants.
Ma fonction de conseillère m’appelle à guider les professionnels dans leurs interventions auprès de la clientèle de notre territoire qui est très variée et m’oblige à garder mes connaissances à jour. De là, mon intérêt pour ce projet de recherche.
Mon nom est Ignace Olazabal, Ph. D. et anthropologue. Je suis responsable de programmes à la Faculté de l’éducation permanente et professeur associé au Département d’anthropologie de l’UdeM, spécialisé en géro-anthropologie. J’agis aussi comme membre du comité interfacultaire de l’UdeM sur la fin de vie et les soins palliatifs, du comité du RUIS de l’UdeM sur le vieillissement, du Groupe de recherche sur la diversité urbaine (GRDU). Je m’intéresse notamment aux aspects sociaux du vieillissement des enfants du baby-boom et à la place de la vieillesse et de la fin de vie dans les sociétés traditionnelles.
Je suis l’auteur de Les baby-boomers, une affaire de familles. Une comparaison Québec-France, publié aux PUQ. J’enseigne le cours Vieillesse, cultures et sociétés au Certificat de gérontologie de la Faculté de l’éducation permanente.
Je suis professeure associée au département d’anthropologie de l’Université de Montréal et chercheure associée au Centre de recherche SHERPA de l’Institut universitaire au regard des communautés ethnoculturelles du Centre intégré universitaire de santé et services sociaux du Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal. Je suis également membre régulière du Centre d’études ethniques des universités montréalaises (CEETUM). Mes travaux portent sur les familles transnationales et les familles mixtes. Depuis quelques années, je m’intéresse aussi aux pratiques de soins et à la diversité ethnique et religieuse en milieu hospitalier et communautaire (périnatalité et accompagnement en fin de vie).
Je suis présentement doctorant en études urbaines à l’Institut national de la recherche scientifique – Centre Urbanisation Culture Société et assistant de recherche au sein du projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel. Mon intérêt pour la question du mourir date ma maîtrise en anthropologie, alors que je me suis penché sur les normes et valeurs d’une équipe soignante dans une institution indépendante de soins palliatifs québécoise. J’enseigne depuis deux ans un cours intitulé « Fin de vie et approches palliatives » au certificat en gérontologie de la Faculté d’éducation permanente de l’Université de Montréal, Je suis également membre du comité de rédaction de la revue Frontières en études sur la mort.
Je suis étudiante au doctorat en anthropologie à l’Université de Montréal sous la direction de Prof. Sylvie Fortin et coordonnatrice de recherche pour le projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel. Pour mon doctorat, je cherche à mieux comprendre ce que signifie vieillir et mourir pour des personnes âgées nées au Cambodge, au Laos et au Vietnam et vivant aujourd’hui à Montréal. Mon intérêt pour la question de la fin de vie et du mourir découle d’une réflexion amorcée en 2010 sur les enjeux intergénérationnels en contexte migratoire, lorsque je participais à un projet d’histoire orale réalisé auprès de Montréalais d’origine cambodgienne.
Professeure titulaire au département d’anthropologie de l’Université de Montréal – et rattachée à la Faculté de médecine (Dép. de pédiatrie) en affiliation secondaire – je suis chercheure à l’Institut universitaire SHERPA (CIUSSS Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal), membre de l’équipe METISS, du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine et membre de l’Unité d’éthique clinique de cet hôpital. Mes travaux portent de manière inclusive sur la diversité (sociale, culturelle, ethnique et religieuse) et les milieux de soins d’ici et d’ailleurs, aux rapports entre minoritaires et majoritaires et à la négociation des savoirs, normes et de valeurs dans différents contextes.
Ces dernières années, j’ai été interpellée par la prise de décision et la rencontre des perspectives patient/parent/soignant lors de maladies graves (du jeune au grand âge) et le passage d’une orientation thérapeutique curative à palliative. Cet intérêt s’est porté hors des milieux de soins pour mieux cerner l’expérience de la fin de vie et de la mort chez les minoritaires (migrants et non-migrants) à Montréal.
J’ai le plaisir d’accompagner plusieurs étudiants à la maîtrise et au doctorat qui travaillent sur des thématiques chères à l’anthropologie sociale et de la santé. Mes cours et séminaires en anthropologie portent sur migration & santé, anthropologie société & santé, anthropologie de l’éthique ; en pédiatrie sur l’éthique clinique et enfin, la démarche de recherche au programme doctoral en Sciences humaines appliquées.
http://anthropo.umontreal.ca/repertoire-departement/vue/fortin-sylvie/
Je suis anthropologue et professeure agrégée à l’Institut d’Études Religieuses (IÉR) de l’Université de Montréal où je suis notamment responsable des programmes Spiritualité et Spiritualité/Santé. Je suis co-chercheuse au sein du projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel en vertu de certaines de mes recherches qui s’articulent autour de l’intersection entre guérison, santé et religion. Mon intérêt pour la question du mourir se situe autour de la dimension spirituelle, et notamment de l’accompagnement spirituel des personnes en fin de vie. À l’IÉR, je suis responsable du programme de second cycle de formation des intervenants en soins spirituels à qui je propose un laboratoire d’intégration spiritualité/santé sur une base annuelle.
Je suis travailleur social et je détiens une maîtrise en service social et un baccalauréat en psychologie de l’Université de Montréal. En tant que praticien-chercheur, je suis le co-auteur du guide « Intervenir auprès des personnes âgées en soins palliatifs. Guide de réflexion sur le soutien psychosocial à domicile » (2012).
Je m’’intéresse aux problématiques de fin de vie dans le contexte du domicile et dans le continuum de soins, tant auprès de la personne en fin de vie que de ses proches. En plus de mon implication au Centre de recherche et d’expertise en gérontologie sociale (CREGES), je travaille depuis 18 ans au département de soutien à l’autonomie des personnes âgées du CLSC René-Cassin au CIUSSS Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal, desservant une population multiculturelle.
En 2016, j’ai été nominé à la Commission des soins de fin de vie du Québec, sous la loi 2.
Je suis anthropologue de formation et je participe au projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel en tant qu’assistant de recherche. Je suis intéressé par les relations humaines qui prennent places dans un environnement pluriel ainsi qu’aux divers défis que peuvent engendrer ce contexte de pluralisme au sein de cadres institutionnels tel que le système de la santé en milieu urbain.
Étudiante à la maîtrise en anthropologie sous la direction de la professeure Sylvie Fortin, je suis assistante de recherche pour le projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel. Dans le cadre de ma maîtrise, je m’intéresse aux réalités des soins à domicile pour aînés. Je travaille principalement sur la question des besoins, exprimés (ou non) par les aînés et leurs proches. Je m’interroge sur la manière dont les besoins des aînés se concrétisent (ou non) en soins et en services à domicile. Mes intérêts de recherche s’articulent ainsi autour du vieillir et du vieillissement lorsque le domicile est le lieu privilégié des soins. Explorer la fin de vie et le mourir dans le cadre du projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel enrichit mes intérêts anthropologiques, particulièrement puisqu’étudier la mort permet aussi, à mes yeux, d’en apprendre davantage sur la vie elle-même.
Doctorante en anthropologie à l’Université de Montréal, j’ai intégré l’équipe de recherche Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel à titre d’assistante de recherche. Au premier abord, rien ne rapprochait mon nouveau travail de ma propre recherche, centrée sur la reproduction sociale par le biais de l’éducation. Mais très vite, l’analyse des données tirées des expériences de fin de vie a démontré que le capital (social, culturel, symbolique et économique) jouait un rôle fondamental dans l’interprétation de certains aspects de cette recherche. Ce constat m’a permis d’apporter une contribution complémentaire au sein de notre équipe interdisciplinaire et de porter un nouveau regard sur mes propres travaux.
Anthropologue, mes champs d’intérêt sont variés, mais se concentrent sur l’immigration, notamment des communautés arabes et musulmanes et leur établissement dans la société hôte, la santé en contexte migratoire, les impacts (santé et migrations) des changements climatiques sur les populations locales ainsi que sur les impacts sociaux et culturels de l’intelligence artificielle (notamment dans un contexte de santé). Dans le cadre de mon mémoire, je me suis intéressée aux parcours de vie de femmes professionnelles immigrantes maghrébines à Montréal et, particulièrement, à leurs réussites subjectives et aux facteurs qui y ont contribué. Je participe au projet Expériences de fin de vie dans un Montréal pluriel en tant qu’assistante de recherche. Mon intérêt pour le domaine de la santé m’amène à travailler aujourd’hui sur un projet de recherche au sein du CIUSSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal et affilié à l’Université de Sherbrooke.
Je suis étudiante à la maîtrise.
Je suis présentement directrice générale du Phare Enfants et Familles, première maison de soins palliatifs pédiatriques au Québec et comme soignante j’ai œuvré principalement en oncologie pédiatrique, d’où mon double intérêt pour ce projet de recherche.
Détentrice d’un baccalauréat en Nursing de l’Université de Calgary et d’une maîtrise en Administration de la santé de l’Université de Montréal, plus récemment, à titre de directrice associée au centre universitaire de santé McGill, j’ai eu le privilège de co-présider le développement de la Télésanté pour le RUIS McGill.
Plusieurs de mes collaborations à des projets de recherche ont donné lieu à des conférences ou des publications, tant dans le domaine de la télésanté que dans celui de l’organisation des services de santé.
De plus, je siège au conseil d’administration de l’Association québécoise de soins palliatifs, comme vice-présidente et suis administrateur au sein de la Société des soins palliatifs à domicile de Montréal.